Arclib, un service d’archivage qui casse les silos du SI
Arclib socle d’archivage unifié
Aujourd’hui les systèmes d’information des entreprises et des administrations sont sous la pression des métiers, organisés en silos. Il faut savoir que les entreprises du CAC40 disposent en moyenne de 30 systèmes d’archivage ou conservation long terme différents : à chaque application métier, sa solution d’archivage.
Derrière chaque silo se cachent des serveurs dédiés, des bases de données dédiées, du stockage dédié… sans parler des frais d’administration de cet ensemble de composants.
Avec Arclib, c’est l’occasion de casser les silos techniques de votre système informatique en proposant une plateforme technique centralisée : un référentiel unique qui recueille l’ensemble des archives numériques des applications métiers.
À titre d’exemple, l'un de nos clients, dans le domaine de l’assurance, déverse quotidiennement environ 300 applications comptables sur notre plateforme technique.
Cette approche unifiée de l’archivage va permettre à votre organisation d’économiser des ressources techniques (serveurs, stockage, réseau…) mais également du temps d'administration, ce qui n’est pas négligeable sur le long terme.
Contrôle des droits, des rôles et des accès dans Arclib
Garantir la valeur probante de votre stock d’archives électroniques implique un contrôle rigoureux des droits, des rôles et donc des accès lors de leur consultation.
Pour répondre à cette obligation d’authentification, Arclib, notre plateforme d’archivage unifiée, est interfacée avec les annuaires LDAP les plus courants du marché.
Ainsi, lors de chaque consultation, il est possible d’identifier sans erreur : qui est la personne qui consulte ? Est-elle en droit de faire cette consultation ? Quelles modifications ont éventuellement été apportées à l’archive ?
L’ensemble de ces actions et informations est enregistré dans les journaux d’Arclib sous forme de logs, et peut être présenté comme élément de preuve sous forme de document synthétique lors d’une procédure juridique, que ce soit au juge ou à l’expert mandaté par celui-ci. Tout est tracé dans Arclib.
Une plateforme technique unifiée sans limite technique
Avec la transition numérique massive engagée par les entreprises et les administrations depuis une dizaine d'années, les stocks d'archives numériques ne cessent de croître et les usages évoluent avec le temps.
Il y a une décennie, le SAE était "considéré comme un frigo" : un service où les entreprises injectaient leurs documents électroniques en espérant ne jamais avoir à les rappeler.
Aujourd’hui, avec la dématérialisation des transactions, des contrats, l'envoi de factures par e-mail et l’utilisation de signatures électroniques, le système d’archivage, tout comme la GED, est devenu un lieu de consultations intensives, atteignant jusqu'à 1,5 million par jour, et plus chez certains de nos clients dans les secteurs des télécommunications et de l’énergie.
Arclib relève ce défi grâce à une architecture modulaire unique : chaque fonction peut être répartie sur 1, 2 ou 10 moteurs (serveurs) en fonction de l’intensité de la demande.
Selon vos besoins, deux moteurs peuvent être mobilisés pour l’injection et dix pour la consultation, ou bien l’inverse.
Du côté de la taille des objets électroniques injectés, même flexibilité : Arclib est capable d’ingérer des millions de petits fichiers de quelques mégaoctets comme de gros fichiers de plusieurs téraoctets. Il n’y a pas de limite de taille d’objet avec Arclib.
Un service d’archivage centralisé, unifié mais qui reste ouvert
Une plateforme unifiée et centralisée d’archivage ne doit pas être synonyme d’enfermement technique pour nos clients.
Dans sa stratégie de développement, Arclib a fait le choix d’utiliser un maximum de composants ouverts du marché.
Tous les composants techniques d’Arclib sont interchangeables sans affecter la valeur probante ou l’intégrité du stock d’archives numériques : les serveurs, les systèmes d’exploitation, les annuaires LDAP, le stockage, etc.
Lorsque l'on sait que le stockage est renouvelé tous les 3 ans, les serveurs tous les 5 ans et les systèmes d’exploitation tous les 15 ans, cette stratégie technique protège nos clients des impasses technologiques entraînant le "customer locking", cher aux éditeurs américains d’ECM.